Le crépuscule d’une décadence latente !

3 à 0, la défaite lensoise à Gerland draine dans son sillage la confusion :

« En ce moment, on retrouve un peu de jeu depuis l’arrivée du coach. On est solidaires. ». La fausseté provocatrice de ces propos m’exaspèrent pis ils m’exacerbent. Soyons indulgent avec son auteur mais prions le de ne point se foutre du monde !
C’est par un manque glaçant de solidarité que les lyonnais ont pris un sobre plaisir à perpétuer leurs coutumes.

Se replacer en groupe, presser en concurremment avec ses coéquipiers, faire des appels en cohésion avec les mouvement des siens : bref faire les efforts ensemble ! Voila les fondamentaux de la solidarité dans le football.

Je peine a reconnaître ces traits dans le jeu boursouflé, râpé, haché qui je vous l’assure n’est guère en progrès. Il faut avoir de la mesure, vu la conjoncture pour éviter d’hérisser les pauvres supporteurs amers.

Lens peine a voir, il se cherche en vain. Après l’enthousiasme papinesque, les maux demeurent.

Il est d’ores et déjà prescrit que les ambitions lensoise doivent être réévaluer, afin de tirer enfin le véritable tableau que nombreux dédaignent reconnaître.

3ème journée de la Ligue 1
(match en retard)
samedi 29 septembre 2007, 18h00

Arbitre : M. Thierry AURIAC
Stade Gerland, 38 420 spectateurs

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