Soirée inaugurale Tadao

Si vous habitez la région lensoise ou même simplement vous venez au stade Bollaert-Delelis voir les rencontres du RC Lens, vous avez constaté depuis plusieurs mois les travaux pour le nouveau réseau de transports de Tadao. C’est ce lundi 1er avril que la mise en service officielle de ce réseau est programmée.

L’occasion pour Tadao d’effectuer un week-end festif sur la ville de Lens mais aussi d’effectuer une soirée inaugurale à l’occasion de la rencontre Lens – Le Havre de ce lundi… Ainsi après le coup de sifflet final, il y aura un mini concert du groupe Magic System puis un feu d’artifice exceptionnel !

Appel à la solidarité pour RCL – HAC

A l’occasion de Lens – Auxerre du 9 mars dernier, l’association « Le Combat des Super Héros » a été mise à l’honneur avec la présence de Paul et Mathis, accompagnés de leurs parents.
A l’initiative des associations de supporters Cap’tain Siko et Galiboys, une collecte de fond sera organisée lors de Lens – Le Havre, le lundi 1er avril à 20h45 au stade Bollaert-Delelis, afin de les aider dans leur quotidien. Des urnes seront mises à disposition des supporters lensois au pied des tribunes et près des buvettes.
Tadao, qui organise les festivités d’après-match à l’occasion de l’inauguration des nouvelles lignes de bus, accompagnera cette action pour l’association à travers un don.

Une cagnotte en ligne est d’ores et déjà mise en place : www.leetchi.com/c/aider-le-combat-des-super-heros

Plus d’infos :

« ça fait partie du folklore »

La présidente de la Ligue de football professionnel, Nathalie Boy de la Tour, a voulu réagir suite aux propos du ministre des Sports Roxana Maracineanu, qui après avoir vu le match PSG – OM le 17 mars dernier a déclaré qu’elle aimerait qu’il y ait des sanctions contre les clubs dont les supporters chantent ou lancent par exemple des insultes contre les clubs ou les supporters adverses (dans le cas présent il s’agissait de chants homophobes)…

La présidente de la LFP a voulu nuancer ce comportement « Pour beaucoup de supporters, ça fait partie du folklore». « Ils n’ont pas forcément l’impression de blesser, ce n’est pas pour ça que ce n’est pas grave », a-t-elle ajouté, en vantant le « travail d’éducation et de sensibilisation (…) pour pouvoir montrer que derrière les mots qu’on peut utiliser de façon un peu légère, on peut blesser, faire souffrir quelqu’un ».