Un match ferme pour Gradit

Même si Jonathan Gradit avait déjà effectué son mea-culpa, la commission de discipline de la LFP a décidé de lui infliger un match ferme de suspension pour ses paroles homophobes lors de la rencontre Lens – Monaco comptant pour la dernière journée du championnat, une journée placée sous le signe de la lutte contre l’homophobie dans tous les stades de Ligue 1.

A noter que l’Egyptien Ahmed Hassan et le Serbe Nemanja Matic qui s’étaient désolidarisés de cette journée en plaçant un sparadrap sur l’écusson de leur maillot en faveur de cette lutte ont eux écopé de deux matches de suspension ferme et deux avec sursis et ils ont également accepté de participer dans un délai de six mois à une action de sensibilisation à la lutte contre l’homophobie dans le football.