Sévèrement touché à la jambe droite ce vendredi matin à l’entraînement, Jonathan Gradit souffre malheureusement d’une fracture fermée du tibia-péroné d’après le site officiel du RC Lens. Le joueur va subir une intervention chirurgicale qui va bien sûr l’empêcher de jouer pendant plusieurs mois !
Le groupe artésien a été très touché par ce choc (certains équipiers ont même pleuré en voyant son immense souffrance) et tout le monde pense fortement à lui dans cette épreuve.
Suite à son cinquième carton jaune reçu lors de Lens – Lorient de dimanche dernier, Jonathan Gradit a été logiquement sanctionné mercredi soir d’un match ferme par la commission de discipline. La sanction prenant effet à partir du mardi 11 novembre 2025 à 00h00, il ne sera donc pas présent pour la 13e journée du championnat avec Lens – Strasbourg.
Pour son carton rouge obtenu face à Rennes dimanche dernier, la Commission de discipline de la LFP, réunie le mercredi 1er octobre 2025, a donné un match de suspension ferme plus un match avec sursis pour Jonathan Gradit.
Mais une autre sanction a été également prononcée : la fermeture pour un match ferme et un match avec sursis de la tribune Marek du stade Bollaert-Delelis. La sanction prenant effet immédiatement, ce sera donc à l’occasion de la réception du Paris FC, dans le cadre de la 8ᵉ journée de Ligue 1 McDonald’s, programmée le dimanche 19 octobre à 15h.
Cette sanction a été prise suite à l’usage d’engins pyrotechniques et des expressions orales et visuelles inapropriées par les supporters du RC Lens lors du derby de la 5e journée (RC Lens – LOSC Lille) du samedi 20 septembre dernier…
Même si Jonathan Gradit avait déjà effectué son mea-culpa, la commission de discipline de la LFP a décidé de lui infliger un match ferme de suspension pour ses paroles homophobes lors de la rencontre Lens – Monaco comptant pour la dernière journée du championnat, une journée placée sous le signe de la lutte contre l’homophobie dans tous les stades de Ligue 1.
A noter que l’Egyptien Ahmed Hassan et le Serbe Nemanja Matic qui s’étaient désolidarisés de cette journée en plaçant un sparadrap sur l’écusson de leur maillot en faveur de cette lutte ont eux écopé de deux matches de suspension ferme et deux avec sursis et ils ont également accepté de participer dans un délai de six mois à une action de sensibilisation à la lutte contre l’homophobie dans le football.
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